Briar Université, tome 2 : The Risk d’Elle Kennedy

Titre original : Briar U, book 2 : The Risk 

Auteure : Elle Kennedy

Édition : Hugo Roman

Collection : New Romance

Thématique : Romance, New Adult

Parution : 4 juillet 2019

Prix : 17 €

Résumé :

Brenna, la fille de l’entraîneur de l’équipe de hockey de Briar, a un caractère bien trempé. Elle ne se laisse jamais marcher sur les pieds et se fiche totalement de ce que les gens pensent d’elle.

Le problème, c’est qu’elle a besoin de l’appui de Jake Connelly, l’attaquant vedette de Harvard – l’équipe ennemie ! – pour obtenir un stage à la télévision, sur une chaîne spécialisée.

Le jeune homme sexy ne lui facilite pas la tâche. Il réclame un vrai rendez-vous pour toutes les fois où il devra jouer le rôle du petit ami.

Mais sortir avec l’ennemi, aussi attirant soit-il, lui ferait prendre un gros risque…

Mon avis : 

Merci aux Éditions Hugo Roman pour l’envoi de ce roman.

Elle Kennedy sait me ravir à chaque roman d’elle et Briar Université a su me plaire dès le début. The Chase a été une très bonne lecture et j’ai adoré retrouver la plume de l’autrice et tout cet univers qu’est le hockey. Dans le premier opus, on fait la connaissance de Brenna et sa rencontre avec Jake m’a tout simplement envoûté et j’avais super hâte de découvrir leur histoire qui s’annonçait… explosive !

« Cependant, le talent et le potentiel ne sont rien sans la discipline et les échecs. Il faut échouer pour que la victoire compte pour quelque chose. Les défaites ne sont pas censées abîmer la confiance en soi. Elles sont censées la bâtir. »

Brenna a un caractère de feu et une confiance en elle incroyable. Elle est belle, intelligente et sait ce qu’elle veut. Et ce qu’elle veut le plus, c’est un stage dans une des plus grandes chaînes télévisée de Hockey du pays. Décrocher ce stage, ce serait la possibilité de pouvoir approcher son but professionnel. Malheureusement, le directeur est un abruti misogyne. Et, à son plus grand désarroi, ce qui pourrait lui permettre d’avoir ce stage, c’est être la petite amie de Jake Connelly. Jake de Havard, alias l’ennemi de Briar. Donc, l’ennemie de Brenna.

Jake accepte d’être son faux petit ami, en échange de quoi il veut de vrai rencard. Déjà qu’entre eux, la tension sexuelle est à son comble, ces rencards ne vont pas aider ! Malgré leur « rivalité », il y a une alchimie indéniable entre eux et ils tombent sous le charme l’un de l’autre. Mais quand on veut être le meilleur au hockey et remporter la compétition, les distractions telles que Brenna Jensen sont peut-être un risque. Un risque diablement sexy.

« Je remets sérieusement en question la théorie de l’évolution. On est passés des hommes des cavernes aux Homo sapiens, puis à notre société de génies. Alexander Graham Bell a inventé le téléphone, Steve Jobs a créé… tout le reste, et maintenant on régresse. Nous sommes de nouveau des homme de Cro-Magnon, c’est juste qu’aujourd’hui on appelle ça des queutards.

On est revenus au point de départ, et c’est profondément déprimant. »

Si j’ai adoré The Chase, The Risk est clairement au-dessus. Summer et Fitz étaient géniaux et j’ai beaucoup aimé les retrouver dans ce second tome, mais j’ai surkiffé Brenna et Jake. J’ai déjà beaucoup apprécié Brenna dès le début mais j’avais hâte de la découvrir davantage et surtout voir la relation qui était forcément explosive avec Jake. Les deux ennemis qui sont faits pour être ensemble. Et franchement, qu’est-ce que j’ai aimé les découvrir et lire leur histoire ! Je les aime tous les deux, à tel point que je ne sais pas lequel des deux je préfère. Ils sont super attachants.

Et autres personnage que j’ai beaucoup aimé dans ce tome, Hollis. On le découvre différemment et beaucoup mieux. Il est vraiment cinglé et sa relation avec Rupi et tellement drôle. J’aimerais tellement qu’un tome leur soit consacré mais ce ne sera visiblement pas le cas pour le tome 3. J’aimerais aussi en savoir plus sur Hunter mais je ne crois pas que ce sera vraiment le cas non plus. En bref, je veux en apprendre plus sur tout le monde et j’ai une nouvelle fois super envie de lire tout Off-Campus, en relisant The Deal… pour la troisième fois.

D’ailleurs, un point que j’ai beaucoup aimé dans ce roman – même si j’ai tout aimé – c’est le hockey. Oui, dis comme ça, c’est débile puisque les garçons sont des hockeyeurs. Mais, dans ce tome, on assiste vraiment au match de hockey et on découvre beaucoup plus ce sport. Et ça me donne très envie de voir un match pour de vrai !

« – Je ne pouvais plus te regarder parce que j’avais peur. J’ai failli te perdre et tu es la seule chose au monde à laquelle je tiens.
– Et le hockey ? je demande, essayant de détendre l’atmosphère.
– Le hockey est un sport. Toi, tu es toute ma vie.« 

Enfin, ce que je peux dire de ce roman, en dehors du fait que j’ai adoré, c’est que j’ai souri, ri et versé ma petite larme. J’ai ressenti tout plein d’émotion durant ma lecture, ce qui fait que je l’adore d’autant plus. Je ne sais pas si je peux véritablement dire que c’est un coup de cœur. J’ai vraiment sur-aimé ma lecture, ça c’est sûr et c’est bien plus qu’une très bonne lecture. La frontière est donc un peu floue. Mais comme j’ai terminé ma lecture depuis plusieurs jours déjà et que j’y pense toujours autant, je pense bien que c’est un coup de cœur !

En tout cas, ce que je sais, c’est que j’ai lu ce roman en une journée, quasiment d’affilée tellement je n’arrivais à lâcher ce roman. Et qu’une fois ce roman refermé, Brenna et Jake m’ont manqué. J’ai littéralement passé une journée entière avec eux mais j’en veux plus. Beaucoup plus !

« – Tu vas lui parler après le match ? demande Hollis. Ou on doit sortir un flingue et…
– Détends-toi, tu n’as pas besoin de me menacer à bout portant pour m’y forcer, je ricane.
– Quoi ? demande-t-il d’un air confus. J’allais juste dire qu’on te mettrait un coup de crosse sur la tête pour que tu recouvres la raison.
Je regarde Fitzgerald, qui hausse les épaules.
– Son cerveau fonctionne d’une façon que nous autre, simples mortels, ne pouvons pas comprendre.
Hollis semble ravi.
– Mec, c’est le plus beau compliment qu’on m’ait jamais fait.«